![]() ![]() Baumann, Michèle ![]() in Cahiers de Sociologie et de Démographie Médicales (2004), 44(2), 187-202 Detailed reference viewed: 89 (2 UL)![]() Baumann, Michèle ![]() in Presse Médicale (2004), 33(7), 445-448 Différencier, sur une période de 5 ans, les consommateurs de psychotropes non-observants (Nob), des observants (Ob) en fonction de leurs caractéristiques démographiques et de leurs opinions sur la ... [more ▼] Différencier, sur une période de 5 ans, les consommateurs de psychotropes non-observants (Nob), des observants (Ob) en fonction de leurs caractéristiques démographiques et de leurs opinions sur la confiance accordée aux prescripteurs, les effets de la prise, le discours de l’entourage, les informations reçues. Méthode. Parmi 166 consommateurs âgés en moyenne de 55 ans, deux questions pour chaque psychotrope consommé pendant une durée de 5 ans ont permis de les classer en Ob ou Nob. Les données ont été recueillies par auto-questionnaire et entretien téléphonique. Résultats Trente-neuf pour cent des consommateurs ont été définis comme Nob. Les médicaments psychotropes sont prescrits en majorité par des médecins généralistes, dont la clientèle est moins souvent observante que celle des psychiatres. Les Nob sont plus enclins à ressentir les effets positifs après une prise et à déclarer pouvoir s’en passer. Quatre-vingt-dix pour cent des consommateurs déclarent porter un regard positif sur les psychotropes et 40% parlent de leur consommation à leur entourage ; les Nob sont plus nombreux à le faire. Seuls 12% des consommateurs ne cherchent pas d’informations sur les psychotropes car ils font confiance aux prescripteurs. Discussion Les consommateurs de psychotropes nécessitent une éducation thérapeutique mieux adaptée à leurs attentes. [less ▲] Detailed reference viewed: 147 (5 UL)![]() Baumann, Michèle ![]() in European Society of Health and Medical Sociology (2004) Works centered on the search for a quality of life (QoL) definition have mostly privileged the individual interviews. No methodology has compared yet the quantitative production of items resulting from ... [more ▼] Works centered on the search for a quality of life (QoL) definition have mostly privileged the individual interviews. No methodology has compared yet the quantitative production of items resulting from individual interviews with those from focus groups, concerning a lower limbs osteo-arthritis QoL. Purpose: To compare methods of item generation for methods : 2 individual interviews and 2 focus groups and to identify the pertinence of a theoretical construit of QoL. Methods: All methods compared relied on extraction of verbatim collected during tape recorded interviews, transcripted and analysed by 3 teams of health psychologists and sociologists independently. The 4 methods compared were interviewed with interview guide with OA patients in 1) focus group, 2) individual semi-structured interview and 3) using a cognitive interview technique to enhance memories. Using the final scale as a gold standard, the sensitivity and specificity, i.e. the contribution of each method to the scale, were estimated. Results: 66 individual and focus interviews were conducted with 96 OA patients. After exclusion of speeches not related to QoL (i.e. satisfaction, coping, locus of control), 80 items were identified relevant. With patients, focus group produced 74% of the items, while both individual methods contributed 100% of resulting items and none item except subject. Focus group methods contributed some themes but individuals gave more in depth information. Traditional semi-structured interviews contributed to known QoL themes and to items on the feeling of being embarrassed for people to be seen, to ask for help and to annoy close relatives, while cognitive interviews provided more fine tuned items on exchanges with and perception by others about their condition, as well as perspective in life and fears from future dependency. Conclusion. The selected method is relevant to explore the theoretical construit of QoL. One can recommend to use patients’ semi-structured interviews with a traditional or a cognitive technique, conducted by interviewers preferably non-specialist of the condition explored. Perspectives. The question is then what is the influence of the topic on the method to be retained? [less ▲] Detailed reference viewed: 124 (2 UL)![]() ![]() Baumann, Michèle ![]() in XVII° Congrès International AISLF (2004) Detailed reference viewed: 83 (0 UL)![]() ; Baumann, Michèle ![]() in Thérapie (2003), 58(2), 145-151 Detailed reference viewed: 105 (2 UL)![]() Baumann, Michèle ![]() in Encéphale (L') (2002), 28(1), 389-398 Identifier et comparer les pratiques d’autonomie de consommateurs de médicaments psychotropes associées aux attitudes mises en jeu par ceux qui déclarent observer ou non leur traitement est l’objectif de ... [more ▼] Identifier et comparer les pratiques d’autonomie de consommateurs de médicaments psychotropes associées aux attitudes mises en jeu par ceux qui déclarent observer ou non leur traitement est l’objectif de ce travail. L'analyse qualitative des discours est basée sur l’analyse de contenu catégorielle de 46 retranscriptions de 23 femmes et 23 hommes consommateurs continus (prise régulière tous les mois depuis au moins 5 ans), âgés de 50 à 65 ans. La stratégie adoptée autour de la médication relève de l'autonomie d'action. L'intentionnalité, la détermination des conduites et leurs choix dépendent de l'autonomie de volonté. L’analyse de ces autonomies nous a permis distinguer deux types d’attitudes. Les observants pour qui le psychotrope est un soutien face à un mal vivre et qui s'inscrit dans une habitude cachée des autres. Ils respectent les doses ordonnées et ne s'aventurent pas à les modifier. Ils ont une confiance totale dans le corps médical. Les non-observants pour qui le psychotrope est une aide, une béquille dont ils se méfient. Conscients des méfaits, ils affirment une intention, une volonté de réguler cette médication. Pour donner sens à l'ordonnance, éviter une trop grande culpabilité, ils légitiment celle-ci par une obligation engendrée par un besoin, par une amélioration de la symptomatologie, minimisent la quantité et les effets de la prise. Ils coopèrent avec le médecin et sont impliqués dans une relation proche " mon médecin ". Ils montrent une certaine familiarité à l’égard du médicament et parlent ouvertement de leur consommation. L'autonomie est un moyen de responsabiliser et de valoriser une partie des patients notamment ceux qui sont non-observants afin de renforcer leur capacité à gérer au mieux leur santé. [less ▲] Detailed reference viewed: 227 (2 UL)![]() Baumann, Michèle ![]() Book published by OFDT - Observatoire Français des Drogues et Toxicomanies (2001) Detailed reference viewed: 133 (2 UL) |
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